La bilastine bénéficie d’un profil d’innocuité avéré à long terme grâce à son utilisation chez plus de 71 millions de patients dans plus de 104 pays. Ce nouvel antihistaminique de deuxième génération n’a pas d’effets sédatifs, car il ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique. En outre, la bilastine ne se métabolise pas et n’interagit pas avec le CYP 450.