Cette étude démontre que la bilastine reste longtemps sur le récepteur H1 (73 ± 5 min), ce qui prolonge l’action antagoniste au niveau du récepteur H1 in vitro (mobilisation de Ca2+ dans les cellules HeLa chargées de Fluo-4) après un rinçage des antagonistes non liés. Par conséquent, la longue résidence de la bilastine peut expliquer sa longue durée d’action observée in vivo.